vendredi 30 janvier 2015

a coming community

XXXII Festival de Otoño a Primavera  Pieter Ampe, Guilherme Garrido, Hermann Heisig y Nuno Lucas

"A coming community" es el fruto del trabajo de investigación llevado a cabo por los cuatro artistas para buscar las maneras de presentarse y crear como grupo. Durante los últimos diez años, la carrera de todos ellos se ha ido cruzando y entrelazando en diferentes combinaciones y circunstancias. Finalmente, sus llamativas similitudes, al mismo tiempo que sus marcadas contradicciones, tanto en su forma de crear como en su vida privada, les llevaron a soñar con trabajar juntos como cuarteto.
Por eso, el espectáculo comienza como una aparente pelea y se transforma después en el relato contradictoria de la trayectoria de los cuatro creadores. Se narran muchos de los momentos de su viaje común, pero también se falsean algunos acontecimientos o directamente se inventan circuntancias al tiempo que se traslada al espectador a un mundo de fantasía, en el que el lenguaje coreográfico es provocador y único.
Una gamberrada divertida para los actores, un poco larga para el público.

lundi 26 janvier 2015

Emile l'africain E. Brami

"Monsieur Brami est un homme laid, méchant et cruel, avec d grandes dents jeunes."
Dans mes romans, je ne cesse de me mettre en scène sans indulgence, parfois de façon malveillante. Ne me suis-je pas dépeint tour à tour sous les traits d'un pré-adolescent violeur, d'un peintre nonagénaire, fou et paraïonaque, puis d'une lesbienne, méchante, elle aussi,  comme la gale? J'obéis ainsi à l'injonction de Louis-Ferdinand Céline, qui ordonnait à quiconque aurait l'incroyable prétention d'écrire sur soi, : Il faut noircir et se noircir. Pourtant, ce court portrait physique et moral reste- et restera sans doute- le plus précis, le plus juste que l'on ait fait de moi.

Trop d'egocentrisme, sans intérêt. Lu jusqu'à page 31

samedi 24 janvier 2015

El eunuco

AUTORES: Jordi Sánchez y Pep Anton Gómez
DIRECCIÓN: Pep Anton Gómez
Atenas. Un joven fogoso con las hormonas alborotadas. Se enamora de una esclava. La esclava, lo es de una cortesana. La cortesana tiene un amante. El amante es el hermano mayor del joven fogoso, que quiere hacerle un regalo. A la cortesana. Por eso, le compra un eunuco. Pero aún no se lo ha dado. El joven se entera. De lo del regalo, de lo del eunuco. Y, como acceder a la casa de la cortesana para poder enamorar a la esclava, tarea fácil no es, decide suplantarlo, reemplazarlo. Al eunuco. Añádele un criado que no quiere, y una criada que no se entera, y un soldadete enamorado de un generalete. Un hombre, pobre, Cilindro–, y pasillos, súmale muchos pasillos.
Mediocre.

mercredi 21 janvier 2015

Rinoceronte

Rinoceronte, escrita por Eugène Ionesco en 1959 es una fábula dramática acerca de la propagación y aceptación social del totalitarismo. La acción transcurre en una pequeña ciudad de provincias donde un buen día aparece un rinoceronte perturbando la tranquila y burguesa vida de la comunidad y generando, como si de una epidemia se tratara, un efecto de contagio consistente en la transformación de las personas en hermosos y robustos  paquidermos.
Berenger, el protagonista de la pieza, en un principio le resta importancia a este acontecimiento, pero pronto, en cuanto su amigo Juan sufre esta inopinada metamorfosis, comienza  a reaccionar contra la epidemia de la que no sabemos si por determinación o por temperamento él ha quedado inmune. Al final, consciente de que su incapacidad de adaptación le aboca a la soledad y a la marginación, proclama a los cuatro vientos su resignada condición de resistente no sin antes lamentar con amargura no poder ser uno de ellos.
El tema de la voluntad es el eje central de este mordaz relato que se emplea a fondo en la suscitación de múltiples preguntas sobre nuestra responsabilidad tanto individual como colectiva. Así por ejemplo, qué postura debemos o podemos adoptar con respecto a la degradación generalizada de la sociedad o ante determinadas propuestas para su radical transformación.
Ernesto Caballero

lundi 19 janvier 2015

Une mélancolie arabe A.Taïa


J'étais dans ma deuxième vie. Je venais de rencontrer la mort. J'étais part. Puis revenu.
Je courais. Je courais. Vite, vite. Vite. Vite.
Vers où? Pourquoi? Je ne le sais pas pour l'instant. Je ne me rappelle pas tout. Je vois une image, la même image rouge et jaune encore et encore. C'est flou. Ça finira par se préciser. J'attends. je n'écris plus. Je suis sur mon petit lit. J'essaie de remplir le spages de mon journal intime. Un futur libre. Je me forcé. Je m'efforce de retrouver ce moment, cette course.
Trop de je, devient monotone, le même sujet que le précédent...ses amours malheureuses, ses conquêtes.             

dimanche 18 janvier 2015

Alex ODogherty+La Bizarrería

El polifacético artista Alex ODogherty, con su banda de siempre, La Banda de la María, se une ahora a La Bizarrería para presentar sus canciones con un show único y diferente.
Un piano mágico recién pescado del que salen miles de instrumentos será el centro de un espectáculo donde el swing, el pop, el funky y el rock se alían con el humor para introducirte en la cabeza de este polivalente e inclasificable artista.
Un viaje a su imaginación acompañado del buen hacer de la Bizarrería.
Loco, divertido, irregular, algunos textos muy poéticos, otros de una sosería y vacuidad extremas.

samedi 17 janvier 2015

A cámara abierta: César Lucas

César Lucas un des grands photographes espagnols a commencé la photo à 17 ans, il a toujours travaillé pour des médias Pueblo, El País, Interviu, et d'autres.
Il a touché à tout, la photo de voyage, d'actualité, le portrait, la mode, les célébrités, le paysage.
Chaque photo a une histoire mais ce qui est intéressant c'est la photo en soi, c'est le regard, pas l'appareil plus ou moins performant.
Il raconte que dans toutes ses photos il y a tojours une personne, pour lui, l'élément le plus important.
Il croit que les photographes sont des mauvais lecteurs de la photo, il leur est parfois difficile de transmettre leurs émotions aux autres.
Il est indispensable de regarder et de faire des photos pour éduquer l'oeil, pour progresser.
Tout le monde sait apprécier une bonne photo.
Il a reçu 25 pts en 1957 pour sa première photo qu'il avait proposée au journal ABC, il était tellement fier qu'il n'a pas dormi de la nuit, impatient de la voir dans le journal le lendemain.
Il avoue ne pas aimer l'aventure, il aurait donc été incapable de devenir photographe de guerre, les scènes de violence ou de douleur le bouleversent.
L'Inde est un pays idéal pour le photographe, ce pays ne laisse personne indifférent on l'aime on en revient fasciné ou dégoûté.
La technologie appliquée à l'image qui facilite les choses, c'est un progres extraordinaire. De même pouvoir voir immédiatement les photos qu'on prend, ça rélève de la magie, ça n'a pas de prix. A propos de Photoshop, ne pas oublier que d'abord il y a la photo, après la postproduction, et non le contraire car autrement on n'est plus photographe mais illustrateur.
Plus il y aura de gens qui feront des potos, plus il pourra y avoir de grands photographes.

vendredi 16 janvier 2015

Une reconstitution passionnelle Supervielle/Yourcenar

Correspondance entre Marguerite Yourcenar et Silvia Baron Supervielle, traductrice de quelques-uns des poèmes à l'espagnol.  Leur échange épistolaire témoigne d'une grande complicité entre les deux femmes. Cette connivence s'articule notamment autour des préoccupations communes qui sont la langue, la traduction, et bien sûr l'écriture. Entamé au début des années 80 lorsque Supervielle écrit à Petite Plaisance pour évoquer ses traductions des poèmes de Marguerite Yourcenar vers l'espagnol, l'échange s'interrompt en juillet 1987, peu de temps avant la mort de l'écrivaine.
Grande voyageuse, curieuse, fan de la Alhambra et l'Espagne, même si elle ne parlait pas l'espagnol, elle était capable de saisir le rythme de ses vers.

mercredi 14 janvier 2015

Vaste est la prison A.Djerba


«Vaste est la prison qui m’écrase», dit la complainte berbère qui ouvre ce roman sur l’Algérie des femmes d’hier et d’aujourd’hui. Comme dans le présent algérien s’entremêlent ici des tragédies, des passions et des mutations, celles de femmes presque toujours en mouvement : la narratrice dans le désert et le silence d’une passion amoureuse.
 
Je n'ai lu que la première: une jeune femme amoureuse d'un homme qu'elle voit pendant des mois sans rien lui dire. Du mal à entrer dans l'histoire...

mardi 6 janvier 2015

Heureux les heureux Y. Reza

On faisait les courses pour le week-end au supermarché. A un momento, elle a dit, va faire la queue pour le fromage pendant que je m'occupe de l'épicerie. Quand je suis revenu, le caddie était à moitié rempli de céréales, de biscuits, de sachets alimentaires en poudre et autres crèmes de dessert, j'ai dit, à quoi ça sert? J'ai dit , à quoi ça rime tout ça? Tu as des enfants Robert, ils aiment les Cruesli, ils aiment les Napolitain, les Kínder Bueno, ils adorent , elle me présentait les paquets, j'ai dit, c'est absurde de les gaver de sucre et de gras, c'est absurde ce caddie, elle a dit, tu as acheté quels fromages?
21 anecdotes de personnages actuels, hommes, femmes, jeunes, vieux, la mort, l'amour, l'amitié, la solitude, la maladie, la vieillesse.
Ces personnages isolés sont en réalité une famille, des amis...on reste un peu sur sa faim.
Heureux ou pas?
21 anecdotes dans la vie de personnages qui forment une histoire de moments de bonheur, malheur, solitude, société.

vendredi 2 janvier 2015

Est-ce ainsi que les femmes meurent? D.Decoin

Quelque part dans Harlem, odeur huileuse des buildings décatis, fragance des cigares et des parfums au chypre, légumes écrasés sur la chaussée, linge aux balcons culottes et soutiens-gorge aux bonnets impressionnants, le vent de l'East River plaque des journaux contre le fût des ´rverbères, contre les bornes d'incendie autor desquelles dansent des gamins débraillés, le soleil et l'eau relaient des arc-en-ciel entre les têtes crépues.

De la lâcheté collective face à la violence.