dimanche 31 janvier 2016

Ma ma J Medem

Drama, 2015, Director Julio Medem, con Penelope Cruz, Luís Tosar, Asier Etxeandia, Ciro Miró, Alex Brendemühl, Silvia Abascal.

Magda es una profesora en paro que, cuando le es diagnosticado un cáncer de mama, saca toda la valentía que tiene dentro para enfrentarse cara a cara con la tragedia. Ante esta situación, Magda hará un extraordinario alarde de vitalidad hasta en los momentos más difíciles. No los afrontará sola, ya que estará rodeada de todos los que la quieren, que se apoyarán en su optimismo para sobrellevar la adversidad, aprovechar cada momento de risas y dar lugar a escenas de delicada felicidad.

Si le dan un Goya, es para matarlos!

samedi 30 janvier 2016

The Big Short Adam McKay

Synopsis : “Wall Street. 2005. Profitant de l’aveuglement généralisé des grosses banques, des medias et du gouvernement, quatre outsiders anticipent l’explosion de la bulle financière et mettent au point… le casse du siècle ! Michael Burry, Mark Baum, Jared Vennett et Ben Rickert : des personnages visionnaires et hors du commun qui vont parier contre les banques … et tenter de rafler la mise !” Le monde de la finance manipule des entités abstraites, inexistantes, virtuelles
Présentant différentes storylines de personnages différents aux intérêts divergeant, The Big Short  nous offre de nouveaux portraits d’arrivistes obsédés par le fric, quitte à verser dans la rengaine pour ne pas dire le cliché. Pour compenser l’ambiguïté de celles des autres, McKay rythme son film par des petites séquences pédagogiques, assurément les plus amusantes de cette comédie (celle avec Robbie en est l’illustration la plus parlante).
 Le montage du film est hystérique, associant vitesse et rythme, les coupes sont outrancières et volontairement anarchiques, les mouvements de caméra criards et les images pas toujours très nettes. Mais qu’importe. Ce qui intéresse notre faiseur de comédies, c’est l’hystérie de la forme et du fond, qui visiblement le fascine. Ce qu’il veut retranscrire, c’est l’abstraction qui fonde ce milieu, une essence palpable intuitivement, mais pas forcément conceptualisable : le boxon. Le surréalisme et le réalisme documentaire s’associent ici de façon maligne et roublarde.
Pas facile à suivre.film trop compliqué si on n'est pas dans le milieu financier.

vendredi 29 janvier 2016

Verre cassé A.Mabanckou

disons que le patron du bar Le Crédit a voyagé m'a remis un cahier que je dois remplir, et il croit dur comme fer que moi, Verre Cassé, je peux pondre un livre parce que, en plaisantant, je lui avais raconté un jour l'histoire d'un écrivain célèbre qui buvait comme une éponge, un écrivain qu'on allait même ramasser dans la rue quand il était ivre, faut donc pas plaisanter avec le grand patron parce qu'il prend tout au premier degré, et lorsqu'il m'avait remis ce cahier, il avait tout de suite précisé que c'était pour lui, pour lui tout seul, que personne d'autre ne le lirait, et alors, j'ai voulu savoir pourquoi il tenait tant à ce cahier, il a répondu qu'il ne voulait pas que Le crédit à voyagé disparaisse un jour comme ça, il a ajouté que les gens de ce pays n'avaient pas el sens de la conservation de la mémoire, que l'époque des histoires que racontait la grand-mère grabataire était finie, que l'heure était désormais à l'écrit parce que c'est ce qui reste, la parole, c'est de la fumée noire... 
Relu pour la deuxième fois à l'occasion d'un atelier lecture à la Central, j'y ai pris beaucoup plus de plaisir que la première, je me suis régalée. lLa majuscule manquante ne gêne pas la lecture, des histoires singulières et drôles que Mabanckou nous raconte à l'oreille ou à voix haute, souffrance, tendresse, de clin d'oeil en clin d'oeil, on reconnaît Céline,Mishima, García Márquez, Vian et beaucoup d'autres.

lundi 25 janvier 2016

Mia madre N.Moretti

Margherita est en train de réaliser un film social quand elle apprend l'aggravation de la maladie de sa mère. Barry Huggins, un acteur hollywoodien mythomane et star de son long métrage, arrive et rend son travail compliqué. De son côté, Giovanni, son frère, s'occupe parfaitement de leur mère. Il a conscience que c'est bientôt la fin tandis que Margherita préfère faire l'autruche et espère toujours. Sur le plateau, rien ne se passe comme elle le voudrait. Barry ne sait pas son texte et son ancien amant lui en veut pour son attitude passée. Plus le tournage avance, plus Margherita doit se préparer à l'inéluctable...

dimanche 24 janvier 2016

Andrzej Wróblewski

Andrzej Wróblewski (1927-1957) es, a pesar de su corta vida, uno de los artistas polacos más importantes del siglo XX. Esta muestra, la primera retrospectiva fuera de su país, permite contemplar su obra más allá de los tópicos reduccionistas del realismo socialista o del arte periférico, a través de los cuales se ha estudiado hasta época reciente el arte de los países en la órbita soviética. Wróblewski fue un artista capaz de trabajar en los límites entre la abstracción y la figuración, de combinar la invención formal con el análisis de la vida cotidiana y de sus límites –la degradación de la guerra y de la política dictatorial– a partir de un profundo compromiso humano y político.
La exposición se centra en sus pinturas de doble cara (pintadas por ambos lados: recto y verso), y en dos periodos diferentes del trabajo del artista: sus inicios a finales de los años cuarenta, cuando busca un lenguaje propio, y el final, cuando desencantado con la política del socialismo real intenta redefinir su obra tanto formal como temáticamente.
Exposición coorganizada con el Muzeum Sztuki Nowoczesnej de Varsovia, en colaboración con la Fundación Andrzej Wróblewski y Culture.pl.

samedi 23 janvier 2016

Juan Muñoz en sala Elvira González


Pequeña-gran exposición. 5 esculturas, 2 pinturas y 4 grabados se encuentran en la sala, y el nivel de la calidad en la propuesta es muy alto. Estamos ante obras muy representativas "del último periodo de Juan Muñoz, cuando el artista estaba en un momento enormemente creativo.
 

vendredi 22 janvier 2016

Kandisky

La exposición Kandinsky. Una retrospectiva es una de las mayores muestras monográficas que se han hecho en España de la obra del pintor ruso.
Cumplidos casi 150 años del nacimiento de Wassily Kandinsky (1866–1944), pionero del arte abstracto y uno de los pintores vanguardistas más destacados de todos los tiempos, la muestra recorre su trayectoria artística y espiritual a través cerca de 100 piezas.                   
La exposición recorre los periodos clave de la vida de Kandinsky, desde los primeros años en Alemania, pasando por sus años en Rusia y finalizando con su estancia en Francia, a través de obras fundamentales como Alte Stadt II (1902), Lied (1906), Improvisation III (1909), Im Grau ( 1919), Gelb-Rot-Blau (1925) y Bleu de ciel (1940). El recorrido es cronológico, y se desarrolla a lo largo cuatro secciones: Munich, 1896–1914, Rusia, 1914–21, Bauhaus, 1921–33, París, 1933–44.
Kandinsky. Una retrospectiva es una exposición organizada por CentroCentro, el Centre Pompidou de París.
Decepciona por las salas en el sótano del edificio poco adaptadas, tampoco se justifica el precio.

dimanche 17 janvier 2016

Robe de marié P.Lemaitre

Assise par terre, le dos contre le mur, les jambes allongées , haletante.
Léo est tout contre elle, immobile, la tête posée sur ses cuises. D'une main, elle caresse ses cheveux, de l'autre, elle tente de s'essuyer les yeux, mais ses gestes sont désordonnés. Elle pleure. Ses sanglots deviennent parfois des cris, elle se met à hurler, ça monte du ventre. Sa tête dodeline d'un côté, de l'autre. Parfois, son chagrín est si intense qu'elle se tape l'arrière de la tête contre la cloison.
 
 Une histoire de voyeur qui a le sens de l'ubiquité, une jeune femme qui est sur le point de devenir folle d'angoisse et d'incompréhension. Un psychopathe qui flanche. Bref, j'ai accroché la première partie, on sent bien que Sophie est innocente.... mais jamais on ne devinerait que....

vendredi 15 janvier 2016

Los besos en el pan A.Grandes

Estamos en un barrio del centro de Madrid. Su nombre no importa, porque podría ser cualquiera entre unos pocos barrios antiguos, con zonas venerables, otras más bien vetustas. Este no tiene muchos monumentos pero es de los bonitos, porque está vivo.
Mi barrio tiene calles irregulares. Las hay amplias, con árboles frondosos que sombrean los balcones  de los pisos bajos, aunque abundan más las estrechas. Estas también tienen árboles, más apretados, más juntos y siempre muy bien podados, para que no acaparen el espacio que escasea hasta en el aire, pero verdes, tiernos en primavera y amables en verano, cuando caminas por la mañana temprano por las aceras es un lujo sin precio, un placer gratuito.
Como el barrio, la novela tiene personajes diferentes, abundan los femeninos, clase media o humilde que han sufrido la crisis. Todos son buena gente. A. Grandes utiliza  los lazos familiares o de amistad para ir introduciéndolos. Novela de diálogos, testimonial, escrita de un tirón, a veces entretenida.
 

dimanche 10 janvier 2016

The Propaganda Game A. Longoria

TÍtulo Original: The Propaganda Game 
Director: Álvaro Longoria    Productores: Morena Films
Género: Documental
País: España, Francia, Alemania, China, Corea del Norte, Estados Unidos  Año 2015
Largometraje documental en el que se analizan las diversas técnicas y estrategias de la propaganda centrándose en el sorprendente y siempre llamativo caso de Corea del Norte. La película ha sido rodada aprovechando el acceso privilegiado a filmar en Corea del Norte de la mano de Alejandro Cao de Benós, el único extranjero que trabaja para el gobierno comunista.  El film analiza las estrategias utilizadas por los diferentes "jugadores" para manipular la "verdad" y sus intereses. Noticias falsas, medias verdades y  polémicas surrealistas sirven para que el espectador llegue a sus propias conclusiones y reflexione sobre lo difícil que es saber la verdad. 
"One of my goals when I went to North Korea was to try and shoot North Korea in a way that hasn’t been shown before: As beautiful as possible, with very high-quality cameras, staying away from the typical moving handheld secret look at North Korea documentary. I wanted to show the full splendor of what they were showing me, even if it was not representing the whole reality. I wanted to use “propaganda” aesthetics. Most people say they’ve never seen North Korea like that which is surprising as we just shot what we were shown and most films and press are shown the same."Álvaro Longoria

samedi 2 janvier 2016

Palmeras en la nieve F.González Molina

Año 1953. Dos hermanos viajan desde los Pirineos de Huesca hasta la colonia española de Fernando Poo (actualmente Bioko), isla de Guinea Ecuatorial, para trabajar en una plantación de cacao. Allí Kilian (Mario Casas) se enamora de una nativa, un amor prohibido en aquellos tiempos en los que algunas líneas no se podían traspasar. Medio siglo después, Clarence (Adriana Ugarte) descubre de forma accidental una carta olvidada durante años que la empuja a viajar desde la tranquila vida en las montañas de Huesca a Bioko. Su objetivo es visitar la tierra en la que su padre Jacobo (Alain Hernández) y su tío Kilian pasaron la mayor parte de su juventud, y así intentar resolver los enigmas familiares y desvelar los secretos de lo ocurrido. En las entrañas de un territorio tan exuberante y seductor como peligroso, Clarence desentierra el secreto de una historia de amor imposible enmarcada en unas turbulentas circunstancias históricas cuyas consecuencias alcanzarán el presente.
Adaptación cinematográfica de la novela del mismo nombre escrita por Luz Gabás, Palmeras en la nieve está dirigida por Fernando González Molina.
Sabiendo lo que se han gastado en esta película da pena el resultado. Se salva Berta Vázquez y Emilio Gutiérrez Caba. Bonitos paisajes.