lundi 25 février 2013

Django desencadenado Tarantino

2012, 165 mn
En Texas, dos años antes de estallar la Guerra Civil Americana, King Schultz (Christoph Waltz), un cazarecompensas alemán que le sigue la pista a unos asesinos para cobrar por sus cabezas, le promete al esclavo negro Django (Jamie Foxx) dejarlo en libertad si le ayuda a atraparlos. Él acepta pues luego quiere ir a buscar a su esposa Broomhilda (Kerry Washington), una esclava que están en una plantación del terrateniente Calvin Candie (Leonardo DiCaprio). (FILMAFFINITY)

Genial western, música y diálogos, actores, humor, tres horas de disfrute pleno.

vendredi 22 février 2013

La memoria rebelde Julio Diamante

Ayer en la Filmoteca se exhibió La memoria rebelde en su versión corta de película (120mn) tras una breve presentación del director Julio Diamante.
Durante cuarenta años, dice Diamante, “la historia fue escrita casi exclusivamente por los golpistas vencedores, que se encargaron de disfrazar y tergiversar los hechos. Pero, incluso después de la muerte de Franco, plumas y voces simpatizantes de la dictadura nacional-catolicista han continuado alimentando una visión deformada y deformante de la República, de la Guerra Civil y de la era franquista”.

En La memoria rebelde intervienen con sus recuerdos, pensamientos y sentimientos Rafael Azcona, Marcos Ana, Santiago Carrillo, el padre Díez Alegría, Francisco García Salve, el monseñor Iniesta, el exfiscal anticorrupción Carlos Jiménez Villarejo, José Antonio Labordeta, Armando López Salinas, Ana María Matute, Luis Otero (cofundador de la Unión Militar y Democrática), el magistrado del Tribunal Supremo José Antonio Martín Pallín, Javier Pradera, Gonzalo Puente Ojea, Rosa Regás y Nicolás Sartorius.

La sala repleta, aplausos y mucha emoción.

jeudi 21 février 2013

Les hommes cruels ne courent pas les rues K.Pancol

Ça m'a prise un soir, comme ça. Un soir de misère. J'étais assise sur mon grand lit américain. Face au miroir que j'ai posé là exprès. Pour inspirer licence et perversité. Ça n'a jamais marché.
C'est en apercevant la fille dans la glace que j'ai compris. Elle avait l'air mal en point. Elle écoutait l'autobus 80 freiner sous ses fênetres, s'ouvrir les portes automatiques pom-pschiitt et se réenclencher la première. C'est tout ce qu'elle semblait pouvoir faire. J'en ai marre, je lui ai dit. Marre de radoter mon cahgrin. Marre qu'on m'écoute. Marre qu'on me console. Il faut que je parte.

Après le déces de son père une femme jeune, française, écrivaine (l'auteure?) décide de quitter Paris et s'installe à New York, chez une amie. Elle voudrait repartir mais s'enlise dans le chagrin. 
Rencontre Allan, commercial cultivé et très séduisant qui se laisse aimer sans compromis, elle continue à gémir sur son sort, n'arrive pas à se dépêtrer de son père, un bon vivant, possessif et pas fiable.

Bref, chiant...et excusable uniquement s'il s'agit du vrai chagrin de Pancol, dans ce cas, on se réjouit de la fin!

samedi 16 février 2013

Le mec de la tombe d'à côté K.Mazetti

Méfiez-vous de moi!
Seule et déçue, je suis une femme dont la vie sentimentale n'est pas très orthodoxe, de toute évidence qui sait ce qui pourrait me passer para la tête à la prochaine lune? Vous avez quand même lu Stephen King?
Juste là, je suis devant la tombe de mon mari, assise sur un banc du cimetière vert bouteille lustré par des générations de fesses, en train de me monter la tête contre sa dalle funéraire. C'est une petite pierre brute et sobre gravée seulement de son nom, Örjan Wallin, en caractères austères. Simple, presque à outrance, tout à son image. Et il l'a effectivement choisie lui-même, il avait laissé des indications dans son contrat obsèques souscrit chez Fonus.
Humour, deux solitudes se rencontrent au cimetière, seméfient, finissent par se consoler. Pour elle, passion assouvie; pour lui, tentative de famille; mais, elle est bibliothécaire et lui fermier. Difficile!
En Suède, j'ai bien aimé.


samedi 9 février 2013

Dialogue avec mon jardinier H.Cueco

- C'st des coquilles de noix que tu fais?
- Je dessine ce que je vois,là,devant moi.
- Si tu en veux, je t'en amène un plein sac.
Les rats ont mangé toutes les noix dans le grenier,y a un tas de coquilles haut comme la table. Si tu en veux, c'est pas ce qui manque. Il rit


Un Parisien et son jardinier, anchien employé à la SNCF, marié à une Algerienne, deux enfants et une passion: faire pousser des légumes. Les vacances, tous les ans à Nice, tous les ans au même endroit, la pêche, son gendre, ses voisins. 
Tendre et simple.

Le confident H.Grémillon

Paris 1975. Un jour j'ai reçu une lettre, une longue lettre pas signée. C'était un événement, car dans ma vie je n'ai jamais reçu beaucoup de courrier. Ma boîte aux lettres se bornant à m'annoncer que la-mer-est-chaude ou que la-neige-est-bonne, je ne l'ouvrais pas souvent. Une fois par semaine, deux fois les semaines sombres, où j'attendais d'elles, comme du téléphone, comme de mes trajets dans le métro, comme de fermer les yeux jusqu'à dix puis de les rouvrir, qu'elles bouleversent ma vie.
Et puis mamère est morte. Alors là, j'ai été comblée, pour bouleverser une vie, la mort d'une mère, on peut difficilement mieux faire.

Une femme reçoit des lettres régulèrement d'un inconnu. Annie, la protagoniste habite un village, se lie d'amitié avec un couple de Paris qui s'installe dans le château, se veut reconnaissante, se propose pour combler le vide de la femme. Décision qui chamboulera sa vie dans les années d'occupation allemande. Bon début, puis déçoit.

lundi 4 février 2013

Rue des voleurs M.Enard

Les hommes sont des chiens, ils se frottent les uns aux autres dan sla misère, ils se roulent dans la crasse sans pouvoir en sortir, se lèchent le poil et le sexe à longueur de journée, allongés dans la poussière prêts à tout pour le bout de barbaque ou l'os pourri qu'on voudra bien leur lancer, et moi tout comme eux, je suis un ètre humain, donc un détritus vicieux esclave de ses instincts, un chien, un chien qui mord quand il a peur et cherche les caresses. Je vois clair dans mon enfance, dans ma vie de chiot à Tanger; dans mes errances de jeune clébard, dans mes gémissements de chien battu; je comprends surtout l'absence de maître, qui fait que nous errons tous à sa recherche dans le noir en nous reniflant les uns les autres, perdus, sans but.                                                        Un jeune Marocain de Tanger, lecteur de roman noir français, faute avec sa cousine, expulsé de sa famille il gagne sa vie comme libraire pour un groupe terroriste musulman, passe en Espagne, a une petite amie catalane, vit les révoltes arabes, essayant de survivre.

dimanche 3 février 2013

La Odisea El Brujo


Los Teatros del Canal de la Comunidad de Madrid presentan 'La Odisea' de Homero, dirigida, versionada e interpretada por Rafael Álvarez, "El Brujo", que consolida lo que ya es su marca personal de reinterpretar una obra clásica pasándola por el filtro de los tiempos modernos.


Buen trabajo, las referncias a la actualidad se ganan al público, lo demás una excusa.

samedi 2 février 2013

L'arbre d'ébène F. Hebbadj

Ce que je sais, c'est que Mama avait perdu le courage de tout. Elle me laissait toutes les nuits dans le noir. je l'attendais dan mon sac de couchage. je restais éveillé jusqu'à son arrivée. Et quand je l'entendais monter les escaliers, je me sentais soulagé. Mama ouvrait la porte avec sa radio des poumons. J'allumais la bougie et je regardais ses yeux mouillés. Elle disait qu etout irait bbien, qu'on partirait bientôt, qu'elle trouverait du travail et qu'on aurait des papiers. Elle ne voulait pas m'inscrire à l'école, elle disait que la police pourrait m'enlever.

Une mère et son fils arrivés illegalement squattent un appartement à Paris, errent dans les rue, squattent chez la famille ou des amis; la mère est malade, se prostitue pour gagner de quoi acheter un minimum pour vivre. Le gamin livré à lui même lit, attend, dort dans son sac...les Blancs tous méchants, les Noirs tous gentils.