jeudi 30 juin 2016

Réparer les vivants M. de Kerangal

Ce qu'est le coeur de Simon Limbres, ce coeur humain, depuis que sa cadence s'est accélérée à l'instant de la naissance quand d'autres coeurs au-dehors accéleraient de même, saluant l'événement, ce qu'est ce coeur, ce qui l'a fait bondir, vomir, grossir, valser léger comme une plume ou peser comme une pierre, ce qui l'a étourdi, ce qui l'a fait fondre -l'amour; ce qu'est le coeur de Simon Limbres, ce qu'il a filtré, enregistré, archivé, boîte noire d'un corps de vingt ans, personne ne le sait au juste, seule une image en mouvement créée par ultrason pourrait en renvoyer l'écho, en faire voir la joie qui dilate et la tristesse qui resserre, seul le tracé papier d'un électrocardiogramme déroulé de puis el commencement pourrait en signer la forme,....
Le jour qui se lève sur la plage et les jeunes gens qui entrent dans l'eau, le cœur battant de terreur et de désir, puis se dressent, minuscules, sur l'«onde venue de l'océan, archaïque et par­faite». À 9 h  20, de retour chez eux, accident de la route.Le Samu arrive, Simon est dans le coma.
Entre deux chapitres centrés sur le drame, la romancière présente le chœur de personnages qui va entourer Simon ce jour-là. Avant que la mère du garçon n'arrive à l'hôpital, le portrait en situation du médecin de garde, de l'infirmière, Cordélia, Marianne, la mère du jeune homme, entre dans la chambre où repose son fils dont on a tenté de lui faire comprendre qu'il était mort sans encore prononcer le mot. Il est mort, et pourtant, bouleversant alexandrin, «sa peau est chaude encore et c'est bien son odeur». Oui, selon les critères légaux, ceux de l'électro­encéphalogramme, Simon est mort, mais son cœur, aidé par la machine, bat.
Des phrases qui font un paragraphe, qui courent pressées de retrouver un corps pour ce coeur qui bat.


mercredi 29 juin 2016

Francofonía Sokurov

(Francia-Alemania-Holanda/2015) / Guión y dirección: Alexander Sokurov / Elenco: Louis-Do de Lencquesaing, Vincent Nemeth, Benjamin Utzerath, Johanna Korthals Altes, Jean-Claude Caër y Andrey Chelpanov / Fotografía: Bruno Delbonnel / Edición: Hansjörg Weißrich / Música: Murat Kabardokov / Duración: 88 minutos

Es una película con una estructura que propone varios niveles de desarrollo, en la que conviven la ficción y, de una manera oblicua, el documental. Sokurov reflexiona sobre la cultura europea, el papel de los museos en la conservación del arte y la influencia determinante de la política en esos asuntos.Usa el pretexto de la historia de las dificultades del Louvre durante la ocupación alemana de la Segunda Guerra Mundial como plataforma para contar otra más abarcadora y que tiene dos facetas: la ficticia, protagonizada por un navegante cuyo buque cargado de obras de arte corre el riesgo de hundirse en el mar en medio de una tormenta -Sokurov parece sugerir que los museos terminan siendo eso: enormes barcos contenedores llenos de mercancías vulnerables-, y la que está inspirada en hechos reales, animada por dos particulares enemigos, el funcionario francés a cargo de la dirección del museo y un militar nazi de perfil aristocrático que debe aliarse con él para proteger el patrimonio de ese imponente edificio ubicado en el corazón de París, una ciudad que al Führer le interesaba especialmente preservar.

lundi 27 juin 2016

Mercier et Camier S.Beckett

Le voyage de Mercier et Camier, je peux le raconter si je veux, car j'étais avec eux tout le temps.
Ce fut un voyage, matériellement assez facile, sans mers ni frontières à franchir, à travers des régions peu accidentées, quoique désertiques par endroits. Ils restèrent chez eux, Mercier et Camier, ils eurent cette chance inestimable. Ils n'eurent pas à affronter, avec plus ou moins de bonheur, des moeurs étrangères, une langue, un code, un climat et une cuisine bizarres, dans un décor n'ayant que peu de rapport, au point de vue de la ressemblance, avec celui auquel l'âge tendre d'abord, ensuite l'âge mûr, les avait endurcis.
Mercier et Camier (1946) écrit directement en français et extrêmement innovant au niveau de la composition et de l’écriture.
Mercier et Camier nous invitent au voyage. La contrée qu'ils vont parcourir, une île jamais nommée, est parfaitement reconnaissable. C'est l'Irlande avec ses landes de bruyères, les jetées de ses ports lancées vers le large pour enlacer la mer, ses sentiers parmi les tourbières, les écluses du canal de Dublin, tout un paysage si cher à Samuel Beckett et si souvent présent en filigrane dans toute son œuvre.
Le but du voyage de Mercier et Camier n'est guère précis. Il s'agit " d'aller de l'avant ". Ils sont en quête d'un ailleurs qui s'abolit dès qu'il est atteint. Leurs préparatifs ont été extrêmement minutieux, mais rien ne se passe tout à fait comme prévu. Il faut d'abord parvenir à partir ce qui n'est pas une mince affaire. Il faudra ensuite rebrousser chemin pour moins mal se remettre en route derechef. Il pleuvra énormément tout au long du voyage. Ils n'ont qu'un seul imperméable à se partager et, après maints efforts, leur parapluie refusera définitivement de s'ouvrir. Leur unique bicyclette va bientôt être réduite à peu de chose : on a volé les deux roues. Cependant, mille embûches ne peuvent les faire renoncer à quitter la ville. Mercier et Camier vont nous entraîner par monts et par vaux, et d'auberges en troquets où le whisky redonne courage. C'est qu'il faut du courage pour affronter leurs rencontres souvent périlleuses avec des personnages extravagants, cocasses ou inquiétants, voire hostiles, au point qu'un meurtre sera commis. De quiproquos en malentendus, de querelles en réconciliations, ainsi va le constant dialogue entre Mercier et Camier qui devisent et divaguent chemin faisant.
Mercier et Camier sont unis dans l'épreuve et, si différents que soient leurs caractères, ils semblent à jamais indissociables. Cette solidarité survivra-t-elle aux péripéties du voyage ?

dimanche 26 juin 2016

Mi relación con la comida Angélica Liddell

Productora, directora y protagonista Esperanza Pedreño 1h30
"Yo merezco el escupitajo del africano. / Yo merezco el odio del africano. / Yo merezco el odio del pobre. / Y la gentuza que come dos platos y postre en ese lugar merece mi odio. / Repito, se trata de la clase social. / ¿Ya se ha olvidado usted de las clases sociales? /Hablo del dinero". Vaya eso por delante por si alguien se había pensado que hablábamos de una obra sobre la anorexia. "No hablamos de una enfermedad humana, más bien de una enfermedad social, una carencia".
"Una de las cosas que me atrajo de la función es que está escrita como un largo poema; tiene un ritmo muy rico para experimentar con él. También es un texto muy confesional donde no deja títere con cabeza y con el que cualquier persona puede sentirse identificada", explica la actriz.
"Esta obra es una vomitona mental, es un alegato en contra de la gente que no está por la labor de mirar al que no puede defenderse. En este sistema que hemos creado, miramos hacia otro lado y nos blindamos frente a los que se están muriendo de hambre en África o las injusticias sociales que se cometen en todos los fascismos, no sólo políticos, sino también religiosos. El más débil se muere ahí o lo bombardeamos". Esperanza Pedreño lo afirma con una suavidad rotunda que no hace dudar de que cree firmemente en lo que hace.
En su puesta en escena, saca a algunos espectadores al escenario para hacerles partícipes "de este alegato del teatro como medicina; del arte como sustituto del Estado. Angélica crea su propio ideario del arte como sustituto del Estado. Ella dice: si el Estado es la búsqueda del bien común, el arte es el verdadero Estado".

samedi 25 juin 2016

14 J.Echenoz

Comme le temps s’y prêtait à merveille et qu’on était samedi, journée que sa fonction lui permettait de chômer, Anthime est parti faire un tour à vélo après avoir déjeuné. Ses projets : profiter du plein soleil d’août, prendre un peu d’exercice et l’air de la campagne, sans doute lire allongé dans l’herbe puisqu’il a fixé sur son engin, sous un sandow, un volume trop massif pour son porte-bagages en fil de fer. Une fois sorti de la ville en roue libre, pédalé sans effort sur une dizaine de kilomètres plats, il a dû se dresser en danseuse quand une colline s’est présentée, se balançant debout de gauche à droite en commençant de suer sur son engin. Ce n’était certes pas une grosse colline, on sait jusqu’où montent ces hauteurs en Vendée, juste une légère butte mais assez saillante pour qu’on pût y bénéficier d’une vue.
Cinq jeunes hommes quittent la région nantaise pour l’Est de la France. Deux d’entre eux, Charles et Anthime laissent derrière eux la jeune femme qu’ils aiment. Charles est le promis. Anthime aime Blanche en secret. Un comptable, la cupidité qui enrichit ceux qui sont restés. Ecriture précieuse.
 Frédéric Bonnaud reçoit Jean Echenoz pour son livre 14 (Minuit).

jeudi 23 juin 2016

Au revoir là-haut P.Lemaitre

Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt étaient tous morts depuis longtemps. De la guerre, justement. Aussi, en octobre, Albert reçut-il avec pas mal de scepticisme les rumeurs annonçant un armistice. Il ne leur prêta pas plus de crédit qu'à la propagande du début qui soutenait, par exemple, que les balles boches étaient tellement molles qu'elles s'écrasaient comme des poires blettes sur les uniformes, faisant hurler de rire les régiments français. En quatre ans, Albert en avait vu un paquet, des types morts de rire en recevant une balle allemande.
Après ce livre, je ne verrai plus monuments aux morts et cimetières militaires de la même manière...Beaucoup aimé.

mercredi 22 juin 2016

Los vecinos de arriba

Texto y dirección: Cesc Gay. con Candela Peña, Xavi Mira, Pilar Castro, Andrew Tarbet.
Teatro de La Latina de Madrid
 Ana y Julio son la mezcla de cariño y reproches en que el tiempo convierte a algunas parejas. Ella ha invitado a casa a los vecinos de arriba para agradecerles su ayuda durante la reforma de su piso pero la idea no le gusta a él. Inicia diversas maniobras dialécticas para conseguir que su mujer suspenda la invitación, pero solo logra que los espectadores sepamos que las cosas no van bien entre los dos. Cuando la visita hace sonar el timbre, Julio y Ana ya están en guerra fría: él quiere sacar durante la velada el tema de los gritos orgásmicos de sus vecinos, a ella la idea le espanta. Los dos se verán superados por los acontecimientos: los vecinos de arriba son una pareja liberal, que vive el sexo de manera desprejuiciada, que sacará el tema de los ruidos y que les ofrecerá un intercambio de parejas. Ahí es donde la estabilidad precaria de la pareja comienza a desmoronarse definitivamente.
Las grandes bazas de la puesta son la gracia y velocidad de las réplicas, que dibujan a los personajes con pinceladas rápidas y certeras, y los cambios de tono, alternando el vendaval de farsa con la melancolía tormentosa de la pareja “de abajo”

mardi 21 juin 2016

Política, manual de instrucciones F.León de Arona

Desde el comienzo del proceso en 2014 en el congreso de Vistalegre hasta las elecciones del 20-D, este largometraje hace un seguimiento detallado de la construcción de Podemos en el que se reflejan los tropiezos, los aciertos, los éxitos, las contradicciones y las crisis de esta formación que representa uno de los procesos políticos más inesperados y vertiginosos de nuestra historia reciente.

Fernando León Arona (Un día perfecto, Amador, Los lunes al sol) dirige este documental sobre la formación política, que muestra imágenes y testimonios de las más de 400 horas grabadas a lo largo de dos años, intercaladas con reflexiones del trío que lo funda intelectualmente: Monedero, Iglesias y Errejón.

lundi 20 juin 2016

Joaquín Torres-García

El Espacio Fundación Telefónica ha presentado una retrospectiva del pintor uruguayo ‘Joaquín Torres-García: Un Moderno en la Arcadia’, producida por el MoMA de Nueva York.

La muestra abarca la primera mitad del siglo XX, repasando los logros de Joaquín Torres-García (Uruguay, 1874-1949) en la pintura, la escultura, el fresco, el dibujo y el collage, a través de más de 170 obras, según detallan sus impulsores.
‘Joaquín Torres-García: un moderno en la Arcadia’ hace hincapié en la individualidad radical de un artista que elude clasificación, una figura en la historia del arte moderno y protagonista clave en los intercambios culturales trasatlánticos que ha fascinado a generaciones de artistas en ambos lados del Atlántico, pero especialmente en América.
La exhibición se estructura cronológicamente en una serie de capítulos importantes abarcando la obra completa del artista, desde sus primeras obras en Barcelona a finales del siglo XIX hasta sus últimas obras realizadas en Montevideo en 1949.
En cualquier caso, destacan dos momentos claves: la época de 1923 a 1933, cuando Torres-García participó en varios de los primeros movimientos modernos de vanguardia europeos, a la vez que estableció su característico estilo pictográfico-constructivista; y de 1935 a 1943, cuando, habiendo regresado a Uruguay, produjo uno de los repertorios más contundentes de abstracción sintética.

dimanche 19 juin 2016

Buendía

Sigue el patrón urbano de los pueblos medievales : en el centro del pueblo encontramos la iglesia y la plaza principal. Desde este punto, en una disposición radial, nos encontramos con las calles principales. Calles secundarias cortan las principales formando círculos casi concéntricos paralelos a la muralla de la ciudad.
Buendía está muy cerca de Madrid. Se tarda sólo alrededor de 1 hora y 45.
Entre los incentivos turísticos está la Ruta de las Caras. El parque es de acceso libre y gratuito.
El camino es llano y transcurre por una pista de tierra durante 4 Km., que se puede hacer en coche. El recorrido completo puede realizarse andando en una hora. Vamos viendo terrenos de cultivo y olivares hasta las mismas caras, después se convierte en pinares y peñas de roca arenisca que llegan a la orilla del pantano.
Al final del camino hay un parking  donde, para facilitar el recorrido, se encuentra un panel con miniaturas de las caras. Frente a dos pequeños olivos, a la izquierda de las tierras de cultivo, parte una senda señalizada, que siguiéndola, a unos 200 metros, encontraremos la primera escultura, la Moneda de Vida. Las esculturas se encuentran distribuidas por la zona, llegando casi hasta el pantano, estando estas principalmente en paralelo al camino principal.

















Museo de la Botica
el despacho de la farmacia donde en las estanterías de madera y cristal encontrarán los recipientes de loza donde se guardaban los productos químicos, plantas o esencias naturales para la fabricación de medicinas.


Además del despacho se encontrarán el laboratorio Químico y el salón de estar con libros de farmacopea de 1905 e incluso anteriores.


 
 Museo del Carro  Casa de la Tercia La colección actualmente cuenta con un total de 12 carruajes, como una calesa que se utilizaba para traer el correo desde la localidad cercana de Huete o una diligencia que prestó servicio de viajeros entre Buendía y Madrid.













samedi 18 juin 2016

Capitán kóblic S.Borensztein

Argentina 2016. Duración: 92 min. Género: thriller Reparto: Ricardo Darín, Inma Cuesta, Óscar Martínez. Guion: Sebastián Borensztein y Alejandro Ocon. Música: Federico Jusid.
Un guión muy pobre, donde todo es inverosímil y los personajes no tienen entidad alguna. Habla de la dictadura militar argentina pero ni aporta una mirada nueva, ni consigue transmitir emoción alguna. Es un film totalmente fallido.
Darín se esfuerza mucho por salir airoso pero el guión no le deja brillar. Interpreta a Tomás Kóblic un ex capitán de la Armada que, en tiempos de la última dictadura argentina a finales de los años 70, era participe de “los vuelos de la muerte”, denominados así porque arrojaban vivos a los detenidos-desaparecidos al Río de la Plata. Abandonará informalmente su carrera militar para refugiarse en Colonia Helena, donde la única ley que impera es la del comisario Velarde. No hay ninguna sub trama que funcione. En el reparto están Óscar Martínez que es el malvado Velarde y la española Inma Cuesta que logra un acento argentino muy convincente. El problema es que su personaje no tiene empaque alguno, todo lo que la relaciona es incoherente, incluido el momento en el que le preguntan por su concubino, momento ridículo donde los haya.
No hay atmósfera, no hay tensión. Intenta parecer un western, acaba siendo ridículo.

vendredi 17 juin 2016

Juana Biarnés

Crónica gráfica y social del franquismo y de los inicios de una nueva democracia.Biarnés (Tarrasa, 1935) es considerada la primera fotoperiodista de España. Fue la mujer que supo colarse en el avión y en el hotel de los Beatles para conseguir una exclusiva histórica y cuya cámara retrató a los grandes personajes que marcaron la historia de las décadas de 1960 y 1970: Kennedy, Louis Armstrong, Marisol, Yul Brynner, Dalí, Jack Lemmon, Orson Wells o Polanski, entre otros muchos. Así es como se inmiscuyó en un mundo de hombres para conseguir unas imágenes que destilan proximidad y sinceridad, sin artificios innecesarios. Por no hablar de su persistencia en conseguir «la foto», la imagen que sobresalía y debía explicarlo todo, como siempre le aconsejaba su padre. Una tenacidad necesaria para alguien que nadó a contracorriente.

jeudi 16 juin 2016

Los Planetas Holst

Los Planetas, de Gustav Holst, se estrenó públicamente en Londres en 1919. Mezcla de suite y de poema sinfónico, su gran difusión se debió probablemente a la temática mística y cosmogónica que tanto interesaba al compositor. El orden de las piezas obedece a la ley del contraste expresivo, repartiendo en siete planetas las sensaciones que intenta transmitir: Marte – la guerra, Venus – la paz, Mercurio – el mensajero alado, Júpiter – la alegría, Saturno – la vejez, Urano – el mago, y Neptuno – el místico. De esta manera, la obra no aspira tanto a representar al sistema solar que a principios del s. XX se consideraba como referencia, como a explotar musicalmente los significados esotéricos asociados a ciertos planetas en el imaginario popular. Plutón, descubierto en 1930, no aparecía entre los mismos. Pero por su cercanía y falta de misterio, tampoco la Tierra mereció un lugar en la obra del músico.
Orquesta Sinfónica de Chamartín, Coro Fundación Gredos San Diego, Orfeón Chamartín
Directores: César Belda, Jerónimo Marín y Alberto Hernández
Obras: G. Holst (1874-1934) Los Planetas, Op. 32

samedi 11 juin 2016

Balneario Alhama de Aragón

De la época árabe es el actual nombre de Alhama, proveniente de Al-Hammam, que significa «los baños». El complejo de Termas Pallares comienza a edificarse en 1863 con la construcción de dos hoteles y un casino que fue inaugurado en 1910, cuenta con tres hoteles (de 3, 4 y 5 estrellas), 70.ooo m2 de jardines y un lago de agua termal único en Europa.
Lo que más destaca es su impresionante lago termal de casi dos hectáreas de superficie, con dos islas y un caudal impresionante de agua que mana constantemente a 32ºC. de las numerosas surgencias termales del fondo del lago y durante todo el año permanece a una temperatura constante de 28ºC.

El Hotel-Termas ofrece acceso al centro lúdico termal Aquatherma, construido sobre la antigua galería de baños,decorado totalmente con mosaico de mármol y cuidadosamente iluminado, Aquatherma evoca las antiguas termas romanas: hidromasaje, templarium, caldarium, frigidarium, cuellos de cisne, lluvia nebulizada, cascadas, grilla y tumbonas calefactadas
Circuito termal de 50 minutos de duración.





mercredi 8 juin 2016

Archivo Paco Gómez Sala Canal de Isabel II

Francisco Gómez (1918–1998), es uno de los nombres indiscutibles de la fotografía contemporánea de la segunda mitad del siglo XX. Su presencia en el medio fotográfico comienza con su ingreso en la Real Sociedad Fotográfica (1956), sigue con su posterior entrada en Afal (1957) y la formación del grupo La Palangana (1959), y se afianza con su identificación como miembro de la Escuela de Madrid. Se trata de un contexto creativo que la muestra aborda a través de la revisión del contenido de sus primeras exposiciones, de la recepción y aparición de sus imágenes en diferentes revistas, así como de su participación en diversos proyectos y publicaciones. Sus fotografías, caracterizadas por un acentuado rigor formal, el simbolismo y la evocación, el interés por la experimentación plástica y un cierto componente existencial en el tratamiento del elemento humano, se diferencian y singularizan en relación al trabajo de sus compañeros de generación 
La muestra Archivo Paco Gómez. El instante poético y la imagen arquitectónica, está compuesta por cerca de cuatrocientas piezas, entre fotografías y revistas cuya selección es el resultado de un ingente trabajo de investigación llevado a cabo por el comisario, Alberto Martín, en colaboración con la Fundación Foto Colectania que custodia el archivo del fotógrafo desde el año 2001.

Como está Madriz

Año 2016. Paco vive en la Plaza Mayor de Madrid. No consigue acostumbrarse a las miles de celebraciones, manifestaciones, cabalgatas y demás ruidosas reuniones ciudadanas que se celebran bajo su balcón. Esta vez una orquesta entera toca La Gran Vía para celebrar el centenario de su construcción. A pesar del escándalo, Paco consigue caer en un profundo sueño hasta que un nuevo griterío lo despierta. Para su sorpresa se ve caminando por las calles del Madrid de finales del siglo XIX". Así comienza la sinopsis de "¡Cómo está Madrid!", que prosigue:
"Más que caminar, charla con ellas. Aquí le habla todo el mundo con la mayor naturalidad: las calles, las estatuas, los políticos, los madrileños, la Generación del 98, músicos insignes… Todos le invitan a emprender un paseo enajenado por este Madrid del siglo XIX que presenta sospechosas similitudes con su propio tiempo. Tal vez porque quien lo sueña es un hombre del siglo XXI o tal vez, porque tampoco hemos cambiado tanto... Casi tres horas,con descanso de 20mn. Divertido.
Ese día...Varias personas obligaron ayer a parar la representación de '¡Cómo está Madriz!', de Miguel de Arco

dimanche 5 juin 2016

Fátima P.Faucon

Une maman seule, divorcée, d'origine arabe, s'occupe de ses deux filles, l'une en 1ère année de médecine, l'autre en 3ème de collège. Le papa s'est remarié, mais est relativement présent auprès de ses filles. La maman se décarcasse pour ses deux filles en faisant des ménages, en travaillant autant à l'extérieur que chez elle. Toute sa vie, ce sont ses deux filles… Alors sont justement abordés tous les thèmes liés à ce genre de scénario: l'intégration, le choc des cultures et des civilisations, la prégnance de la religion et du machisme, le féminisme, la difficulté, quand on est issu de l'immigration de se loger, de trouver du travail, etc. etc. Certes le montage est bon et les plans souvent très travaillés, mais les bons sentiments ne font pas toujours les grands films. Les actrices ne sont pas toujours crédibles, trop de clichés dans un même film et un côté bonne conscience et tout est bien qui finit bien qui déplaisent.