vendredi 29 juillet 2011

El bosque de los zorros A.Paasilinna

En Estocolmo, en una antigua y respetable casa de piedra junto al parque de Humlegard, vivía gente adinerada, como por ejemplo Oiva Juntunen. Su profesión era la de ladrón.
Oiva Juntunen era más bien flaco, tenía treinta años, había nacido en Vehmersalmi, Finlandia, y estaba soltero. Aunque ya llevaba en el extranjero casi quince años, de vez en cuando, y si venía a cuento, soltaba alguna expresión de su tierra:
- ¡Hay que joderse!
Juntunen contemplaba desde su amplio miradorel parque iluminado por el sol de primavera.Los hombres de las brigadas municipales de limpieza barrían sin prisa alguna, haciendo montoncitos con las hojas podridas del otoño anterior; por su parte, un vivaz vientecillo de primavera las esparcía de nuevo por todo el parque. Así los barrenderos no necesitaban preocuparse por quedarse en el paro.
Genial novela del escritor finladés, humor garantizado!Un ladrón esconde los lingotes escondiéndose de sus compinches que han salido d ela cárcel.

jeudi 28 juillet 2011

Adiós princesa J.Madrid

¿Cuándo comenzó esta historia?Es difícil saberlo. Es probable que fuera cuando Matos me llamó al móvil después de diez años sin saber de él y me propuso el descabellado trabajo que originó este relato. Aunque también es posible que le origen de todo se remontara a la amistad que le profesé a mi vecino Juan Delforo, el periodista, que hace más de veinte años alquiiló un apartamento al lado del mío, en la calle Esparteros de Madrid con la inrtención de hacerse escritor, y me pidió que le informara sobre el trabajo policial,sin saber las consecuencias que eso me acarrearía después.
Una joven periodista, Lidia, presunta novia del Príncipe, inestable y fantasiosa aparece asesinada. Su profesor es el primer sospechoso.Su amigo y vecino Antonio Carpintero, ex policia, hoy detective le ayudará a demostrar su inocencia.
Una historia que se quiere aprovechar d ela realidad para resultar interesante, pero se queda lejos de su objetivo. Tostón.

vendredi 15 juillet 2011

La dulce envenenadora Arto Paasilinna

Una ancianita de aspecto agradable en un sereno paisaje campestre, lo que se dice una estampa encantadora.
En el jardín de la casita de color rojo, una abuelita delgaducha con una regadera amarilla en sus manos regaba su arriate de violetas. Gorjeantes golondrinas revoloteaban por encima de su cabeza en el claro cielo, los abejorros zumbaban, un gato perezoso dormitaba en la hierba.

Aquí a 50km de Helsinki, en Harmisto vive la coronela Linnea de 78 años, atemorizada por un sobrino borracho y sus dos amigos.Pretenden vivir a su costa además de maltratarla y destrozar su casa. Llegan a pensar en matarla para que su sobrino nieto Kauko pueda heredar.
Hasta que un día, Linnea se rebela...
Es una novela amena, cómica, con una parodía de la sociedad finladesa que se lee de un tirón. Autor de éxito en su país Paasilinna (1942)escribió este libro en 1988.

jeudi 14 juillet 2011

Danse, danse, danse. H.Murakami

Je rêve souvent de l'hôtel du Dauphin.
Dans mon rêve je fais partie de l'hôtel. Le bâtiment, déformé, s'allonge interminablement en une sorte de prolongation de mon être. On dirait un immense pont surmonté d'un toit. Et ce pont qui m'englobe s'étend de la préhistoire aux confins de l'univers. Il y a aussi quelqu'un qui pleure dans mon rève. Quelque part, quelqu'un verse des larmes pour moi. Je perçois nettement les battements de coeur et la douce chaleur de cet hôtel dont je ne suis qu'une infime partie.
Un rêve c'est le début de ce roman étrange et lent où le personnage principal n'a pas de nom, porte la trentaine sans autre dessein que la recherche d'une ancienne maîtresse disparue, les retrouvailles avec un camarade d'école devenu célébrity du cinéma et la prise en charge d'une ado abandonnée à elle-même dont les parents artistes pourris d'argent ne savent quoi faire.
Est-ce une critique acerbe de la société japonaise? Sans doute, mais j'ai eu du mal à finir les 574 pages et remettrai aux années à venir la lecture de Murakami.

mercredi 13 juillet 2011

'Une bande de spéculateurs cherche à mettre l'Italie et l'Espagne en faillite'

Pour les contrer, dans La Tribune, Edouard Tétreau préconise de faire vite. Il recommande :
De les identifier, et de rendre la liste de ces institutions publique
De ‘blacklister’ ces spéculateurs des marchés financiers européens en leur en interdisant l’accès
L’Allemagne et la France doivent porter secours à l’Espagne et à l’Italie, en achetant massivement des obligations espagnoles et italiennes. Ce serait de toute façon dans leur intérêt, puisque les banques allemandes et françaises risquent la faillite si l’Italie et l’Espagne font défaut.
Il faut franchir le pas de l’union fiscale et nommer un ministre des finances européen avant que les Etats Unis atteignent le plafond de dette autorisé par la loi, le 2 août prochain. Ce ministre devra mutualiser les dettes souveraines des pays de l’Union.

Il conclut : « S'il a fallu quelques heures pour décider une opération militaire en Libye, on peut se donner quelques jours pour endiguer la spéculation, et quelques semaines pour unir les forces des Trésors allemand, français, italien, espagnol. Après, nous aurons le temps de passer aux choses sérieuses : la remise en ordre de nos finances publiques, à commencer par la France ; la responsabilisation de l'Allemagne face à son engagement européen, notamment en termes de défense ; et la constitution des Etats-Unis d'Europe. »
Express.be

samedi 2 juillet 2011

Casa Lucas Madrid


Casa Lucas est un bar-taverne 30,rue Cava Baja Bonne cuisine mais rapport qualité/prix moyen.
L'endroit est petit et extrêmement bruyant.
Couscous au poulet et légumes
Rabo de toro désossé
Deux bières
Une bouteille de vin rouge D.O. Navarra 2006 "9"
Pas de dessert ( il n'y en a pas)
Total 59 Euros