Est-ce ainsi que les femmes meurent? D.Decoin
Quelque part dans Harlem, odeur huileuse des buildings décatis, fragance des cigares et des parfums au chypre, légumes écrasés sur la chaussée, linge aux balcons culottes et soutiens-gorge aux bonnets impressionnants, le vent de l'East River plaque des journaux contre le fût des ´rverbères, contre les bornes d'incendie autor desquelles dansent des gamins débraillés, le soleil et l'eau relaient des arc-en-ciel entre les têtes crépues.
De la lâcheté collective face à la violence.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire