A cámara abierta: César Lucas
César Lucas un des grands photographes espagnols a commencé la photo à 17 ans, il a toujours travaillé pour des médias Pueblo, El País, Interviu, et d'autres.
Il a touché à tout, la photo de voyage, d'actualité, le portrait, la mode, les célébrités, le paysage.
Chaque photo a une histoire mais ce qui est intéressant c'est la photo en soi, c'est le regard, pas l'appareil plus ou moins performant.
Il raconte que dans toutes ses photos il y a tojours une personne, pour lui, l'élément le plus important.
Il croit que les photographes sont des mauvais lecteurs de la photo, il leur est parfois difficile de transmettre leurs émotions aux autres.
Il est indispensable de regarder et de faire des photos pour éduquer l'oeil, pour progresser.
Tout le monde sait apprécier une bonne photo.
Il a reçu 25 pts en 1957 pour sa première photo qu'il avait proposée au journal ABC, il était tellement fier qu'il n'a pas dormi de la nuit, impatient de la voir dans le journal le lendemain.
Il avoue ne pas aimer l'aventure, il aurait donc été incapable de devenir photographe de guerre, les scènes de violence ou de douleur le bouleversent.
L'Inde est un pays idéal pour le photographe, ce pays ne laisse personne indifférent on l'aime on en revient fasciné ou dégoûté.
La technologie appliquée à l'image qui facilite les choses, c'est un progres extraordinaire. De même pouvoir voir immédiatement les photos qu'on prend, ça rélève de la magie, ça n'a pas de prix. A propos de Photoshop, ne pas oublier que d'abord il y a la photo, après la postproduction, et non le contraire car autrement on n'est plus photographe mais illustrateur.
Plus il y aura de gens qui feront des potos, plus il pourra y avoir de grands photographes.
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