mercredi 28 février 2018
MARES es un proyecto piloto innovador de transformación urbana a
través de iniciativas de economía social y solidaria, de la creación de
empleo de cercanía y de calidad y de la promoción de otro modelo de
ciudad. Hoy nos han presentado el documental Food Coop.
Food Coop, c’est un documentaire sorti depuis une semaine,
réalisé par Tom Boothe. C’est l’histoire d’un supermarché géré par une
coopérative. Dans ce supermarché, chacun des adhérents travaille 2h45
par mois exactement.En échange, ils peuvent y faire leurs courses moins
cher, et acheter bio.Food Coop, par la coopérative Park Slope, c’est ça. ET ça marche!
17 000 adhérents à la coopérative, ça fait 17 000 travailleurs qui se
relaient. 75% du boulot est réalisé de manière bénévole, ce qui permet
de faire baisser sérieusement le prix des produits.
A Paris La Louve supermarché identique vient d'ouvrir avec plus de 6000 membres. MARES travaille pour que Madrid puisse à son tour avoir son supermarche coopératif. Fantastique défi.
dimanche 25 février 2018
Toulouse-Lautrec y los placeres de la Belle Epoque
A
través 65 obras —los 33 carteles que Toulouse Lautrec produjo más otros
tantos de importantes artistas coetáneos como Alfons Mucha o Jules
Cheret— se abordan algunos de los importantes cambios que la modernidad
trajo en los últimos años del siglo XIX y principios del XX. Cambios que
afectaron tanto al arte, la literatura y los espectáculos, como a los
usos sociales. Estos cambios se acompañaron de una nueva mentalidad,
mucho más abierta y hedonista, lo que propició el disfrute de nuevos
placeres surgidos y al alcance de un mayor número de ciudadanos, y que
la exposición trata a lo largo de cuatro secciones: Los placeres de la noche. El cabaret parisién; Los placeres de los escenarios; Los placeres literarios y artísticos; y Los placeres modernos. El consumo.
Exposición realizada en colaboración con el Musée d’Ixelles (Bruselas).Placeres...
Libellés : Canal, exposition, Madrid, peinture
samedi 24 février 2018
Cicatrizando Tontxu
Este disco supone la vuelta de Tontxu tras ocho años de silencio y
cicatrices, la idea sobre la que se sustenta un trabajo en el que han
colaborado voces de la talla de Javier Ruibal, Carlos Chaouen, María
Toledo, Gabi Exeni y Road Ramos.
Ecléctico como ninguno de sus discos anteriores, Cicatrizando
nació en la Sierra de Gata, comarca extremeña en la que reside Tontxu
con su mujer Elena e hija Carla, de apenas un año. La pasión de Tontxu
por este lugar le llevó a crear su disco
más comprometido, en el que no rehúye sentimientos propios, experiencias
pasadas, futuro, actualidad política, reflexiones sociales y, sobre
todo, honestidad al descubrir sus cicatrices, de las que no reniega uno
de los cantautores que más ha aportado, como pionero, a quienes ahora se
denomina como songwriters en el lenguaje más moderno.
Auteur compositeur sympathique.vendredi 23 février 2018
En manque V.Macaigne
Dirección:
Vincent Macaigne Théâtre Vidy-Lausanne Duración aproximada:
1 hora y 45 min
Actores: Thibaut Evrard, Liza Lapert, Clara Lama-Schmit,Sofia Teillet.
Vincent Macaigne sitúa su En manque en una fundación
privada que mantiene la totalidad del arte europeo en una caja fuerte.
Pero el autor, actor y director no critica a una sociedad colapsada por
sus propias certezas –y en la que un puñado de personas maneja la
miseria de los demás–, sino que utiliza el teatro para ir más allá de
nuestras verdades y obsesiones. Macaigne aspira a un renovado deseo de
vivir para evitar el colapso total y escapar de la angustia de la
soledad. En manque es un singular
estudio teatral, coreográfico y plástico en el que Macaigne exhibe una
serie de personajes en pleno proceso de búsqueda de un amor puro y
radical. La pieza profundiza en las fantasías más íntimas de una mujer
encarcelada que lidia con la melancolía. Se trata de un espectáculo que
escenifica la cruda lucha contra el mundo, una lucha por la vitalidad y
por el deseo.
En manque d'amour consommé par l'individualisme.L'auteur prétend qu'il s'agit d'une pièce optimiste.Le public madrilène a applaudi sans trop d'ardeur.
En manque d'amour consommé par l'individualisme.L'auteur prétend qu'il s'agit d'une pièce optimiste.Le public madrilène a applaudi sans trop d'ardeur.
jeudi 22 février 2018
Un avion sans elle M.Bussi
L'Airbus 5403 Istanbul-Paris décrocha. Un plongeon de près de dix mille mètres en moins de dix secondes, presque à la verticale, avant de se stabiliser à nouveau. La plupart des passagers dormaient. Ils se réveillèrent brusquement, avec la sensation terrifiante de s'être assoupi sur le fauteuil d'un manège de foire.
Ce furent les hurlements qui brisèrent net le fragile sommeil d'Izel, pas les soubresauts de l'avion. Les bourrasques, les trous d'air, elle en avaitt l'habitude, depuis presque trois mots qu'elle enchaînait les tours du monde pour Turkish Airlines. C'était son heure de pause. Elle dormait depuis moins de vingt minutes. Elle avait à peine ouvert les yeux que sa collègue de garde, Meliha, une vieille, penchait déjà vers elle son décolleté boudiné.
L'histoire?
Un crash d'avion dans le Jura dans les années 80 et pour seul survivant,
un bébé de 3 mois. Mais voilà, deux bébés du même âge ont embarqué dans
l'avion. L'une Lyse-Rose d'une famille aisée et Emilie enfant d'une
famille beaucoup plus modestes. Les deux familles vont s'engager dans
une bataille juridique afin de déterminer de quel bébé il s'agit car
dans ses années là pas de test ADN possible... 18 ans plus tard, nous
suivons l'enquête faite par un détective privé par le biais de son
journal, pour enfin savoir qui de Lyse-rose ou de Emilie a survécu.
mardi 20 février 2018
Coincidencias L.Goytisolo
UN SUSTO. Como suele suceder, pasó lo que pasó por un cúmulo de circunstancias. Esa propensión mía a ser demasiado amable, a pasarme. Pero es que no lo puedo evitar: fui educado así. Y es que como el invitado de mi socio de Liechtenstein venía tan sólo por unas horas- lo que se dice visto y no visto-, me pareció que lo correcto era que el chófer le fuese a esperar al aeropuerto y se encargara de llevarle también al irse. Despachamos las cuestiones pendientes antes de lo previsto, y como no me parecía educado dejarle sin más en la calle, me lo llevé a cenar aunque para mí fuese algo temprano; así, por otra parte, iba a poder sondearle sobre cuestiones de carácter más general.
Coincidencias
es una destilada síntesis de formas de vida, valores, usos y
costumbres, ritos, filias y fobias, ideas… de un plural abanico de
personajes. Taxistas, chóferes, empresarios, inversores, cocineros, hackers,
amas de casa, carteristas, indignados, madres e hijas, abuelos y
nietos, chefs mediáticos, prostitutas y muchos otros componen un
poliédrico mosaico que radiografía el presente colectivo desde una
mirada implacable, cargada de corrosión cuando se trata de enfocar lo
que predomina: sea un look, los negocios, la gastronomía, las
inversiones como el sexo. Por momentos, la imagen resultante es tan
desquiciada y absurda (pero tan real y verdadera) como las de la mejor
tradición grotesca.
lundi 19 février 2018
Reconfort V.Macaigne
Pascal et Pauline reviennent sur les terres de leurs parents après des
années de voyage, et se retrouvent dans l’impossibilité de payer les
traites du domaine. Ils se confrontent à leurs amis d’enfance, qui eux,
d’origine modeste, n’ont jamais quitté leur campagne. Et à Emmanuel
surtout, qui veut racheter leur terrain au meilleur prix pour
l’expansion de ses maisons de retraite. Entre les amitiés d’hier et les
envies de demain, la guerre aura-t-elle lieu ?
Très librement adapté de La Cerisaie, de Tchekhov, il ravive
avec à-propos la lutte des classes, qui n’a disparu que dans l’esprit
des nantis. De retour du Mexique et de New York, où ils ont joué les
cigales, deux héritiers, frère et sœur, arpentent le domaine qu’ils
envisagent de vendre à un ami d’enfance moins bien né qu’eux, devenu
petit patron de BTP et ayant gardé une rancœur sociale. Il les voit
comme « des bourgeois qui jouent aux péquenots. Dans un paquet de
pays et un paquet d’époques, ces mecs-là, on leur aurait coupé la tête
». Chez Macaigne, on dialogue peu, on s’invective, au milieu des champs, autour d’une table, dans une voiture. « Ta putain de France, elle s’est construite sur des mecs comme moi », renchérit l’ex-prolo. « T’es pauvre, tu resteras pauvre. Même si tu deviens riche, tu resteras pauvre », se
défend le rentier. Voilà un film générationnel, qui pose plus de
questions qu’il n’apporte de réponses sur cette jeunesse française
incapable de trouver sa place parmi les baby-boomeurs devenus «
papy-boomeurs » triomphants. Pour tenir debout, elle peut compter sur
Macaigne, rebelle sans cause et sans illusions, sinon celle de redonner
un peu d’espoir. (télérama)
Les personnages se crient dessus constamment, peu de tendresse, beaucoup de violence dans les mots, les gestes, des gens paumés, des vieux abandonnés, New York, le Méxique...orphelins tous.
vendredi 16 février 2018
Perfectos desconocidos A.de la Iglesia
2017 España 97 min tragicomedia Dirección Alex de la Iglesia con E. Alterio, J. Acosta, E. Fernández, B. Rueda, D. Fernández, P. Nieto, E. Noriega.
El argumento de Perfectos desconocidos lo protagoniza
algo tan cotidiano como varias parejas de amigos que se reúnen a cenar
en la casa de uno de ellos. Con el aditivo de que en la terraza les
espera una noche de eclipse. Y para romper la rutina que pueden deparar
esas cenas proponen un juego aparentemente inofensivo y lúdico que
acabará en desastre, sabiendo cada uno de sus colegas no lo que no
quieren conocer o jamás intuyeron. Miserias, engaños y traiciones entre
otras cosas. Eso ocurre al plantar sus teléfonos encima de la mesa al
comienzo de la cena para que todos sean testigos del material que va a
apareciendo a lo largo de la noche. Y, por supuesto, nada es lo que
parece.
Divertida, al principio, luego decae, demasiadas inverosimilitudes y ya el final es totalmente ridículo. Buena interpretación de Hector Alterio y Eduardo Fernández.
Libellés : cinéma, delaIglesia
jeudi 15 février 2018
Transición Historia de una política española (1937-2017) S.Juliá
"La Transición, pensaba Juan J.Linz en 1996, es ya historia, no algo que sea objeto de debate o lucha política; es objeto científico, añadía, con el riesgo de que los que no la vivieron la ignoren, la consideren algo obvio, no problemático. Escrita esta reflexión poco antes de la llegada por vez primera, del Partido Popular al Gobierno, estaba lejos el profesor Linz de pensar que lo que aquel momento se daba ya como historia, como pasado, recuperase diez años después un lugar central en el debate político, crecientemente crispado a medida que avanzaba el nuevo siglo, hasta tal punto que diez años después de que Linz, y muchos con él, consideraramos la Transición como historia, hablar en España del proceso de transición de la dictadura a la democracia era hablar de política tanto como o más que de historia. Y hoy, cuando ya ha transcurrido otra década y nuevos movimientos sociales y nuevas fuerzas políticas han irrumpido en la calle y en las instituciones, los términos se han invertido por completo: hablar en estos últimos años de la Transición es hablar de política mucho más que de historia; o mejor: cuando se aparenta hablar de historía, lo que se hace cada vez con mayor frecuencia es un uso del pasado al servicio de intereses o proyectos políticos o culturales del presente."
En un estilo algo farragoso Juliá repasa los años que van desde el final de la guerra hasta la actualidad. El libro tiene una gran virtud, está profusamente documentado y da voz a los protagonistas. Tiene dos partes: los siete primeros capítulos que suponen la mitad de las más de 600 páginas, abarcan los 40 años del franquismo; detalla meticulosamente los sucesivos
encuentros y desencuentros de monárquicos y socialistas desde el pacto
de San Juan de Luz (1948), las aproximaciones de exiliados y opositores
del interior (Munich, 1962), así como las modulaciones comunistas hasta
culminar en la fórmula de "reconciliación nacional" (desde 1956). Los seis capítulos restantes se ocupan de los hechos más próximos a
nosotros, peripecias de la
transición y problemas políticos surgidos en las últimas décadas. En "Amnistía", quizá
uno de los capítulos más impactantes, Juliá demuestra que la transición
fue muy generosa con los terroristas -con ETA en particular- sin
recibir contrapartidas no ya de quienes empuñaban las armas sino tampoco
de nacionalistas ni intelectuales en general. En "Y estatutos de
autonomía" analiza las sinuosas negociaciones que dieron como fruto los
diversos gobiernos autonómicos, sin que la satisfacción por lo
conseguido lograra desplazar una extendida sensación de desencanto.
Santos Juliá sostiene que "la campaña de legitimación de la independencia de los
nacionalistas catalanes está basada en mentiras" y que esas "mentiras"
han creado "sentimientos que han reforzado sus posiciones".
El libro es uno más acerca de un periodo de nuestra historia que dista de estar cerrado. Ese esfuerzo por atenerse a lo documentado no impide que Juliá olvide sus
intereses ni ideología. Maltrata innecesariamente a Podemos, "Pablo Iglesias, el tertuliano con coletas" "fenómeno televisivo" responsabiliza a la Sexta de su auge y a Irán de su financiación.
intereses ni ideología. Maltrata innecesariamente a Podemos, "Pablo Iglesias, el tertuliano con coletas" "fenómeno televisivo" responsabiliza a la Sexta de su auge y a Irán de su financiación.
Populismo, en suma. Cinco millones de españoles quedan como inocentes en el mejor de los casos, como gilipollas en el peor. Recordar que Santos Juliá fue durante muchos años el ideólogo con mayor proyección mediática de la visión de España como un Estado uninacional, centrado en la capital del Reino, promovida por El País,no está de más.
mercredi 14 février 2018
Sin amor A.Zvyagintsev
2017 Rusia 126 min Drama Dirección, música y guión Andrey Zvyagintsev Con Maryana Spivak (Zhenya), Aleksey Rozin (Boris), Daria Pisareva (Dasha), Matvey Novikov (Alyosha), Marina Vasilyeva (Masha).
Zhenia y Boris están en medio de un divorcio en el que prima el
resentimiento, la frustración y las recriminaciones. Los dos se han
embarcado en una nueva vida con otra pareja y esperan con impaciencia el
momento en que puedan pasar página, empezar de nuevo, incluso si eso
implica abandonar a su hijo Aliosha, de doce años. Hasta el día que el
niño desaparece después de ser testigo de otra de sus terribles
discusiones.
Trata a la naturaleza como si fuera un personaje más, hermosas las fotos del bosque que atraviesa el crio y cinta premonitoria. Otro acierto, la música que acompaña y envuelve el drama. Una sociedad fría, egoista, individualista, unos padres infantiles incapaces de responsabilizarse de ese niño que la madre no quería; una policia rusa falta de recursos que no se averguenza de confesarlo. La incesante presencia de los móviles, los selfies que dan realidad a momentos de supuesta ternura.
Y un epílogo tres años más tarde, la casa ha sido vendida y empiezan las obras, el padre ha tenido otro hijo del que tambien se despreocupa, estalla la guerra entre Ucrania y las milicias separatistas prorrusas. La madre con su nueva pareja en su casa de ensueño, corre en la cinta de gimnasia, corre hacia ninguna parte.
Libellés : cinéma, Zvyagintsev
mardi 13 février 2018
Los cinco y yo A. Orejudo
"Para explicar el influjo que las aventuras de Los Cinco han ejercido sobre mi generación hay que hacer referencia al precio que alcanzó el trigo en la posguerra española: asi empecé mi presentación de After Five en la Blyton Foundation, remontandome a la catástrofe que había sufrido el sector agrario en los años cuarenta, recién terminada nuestra Guerra Civil. Entonces el Estado fijaba por ley las superficies de cultivo, compraba muy barata toda la producción de cereal y controlaba el consumo con cartillas de racionamiento. A consecuencia de ello, muchos agricultores ocultaban parte de su cosecha para venderla más cara en el mercado negro."
Esta presentación en el congreso anual sobre Enid Blyton, la escritora que triunfó con las aventuras de Los cinco,
servirá de hilo para una autobiografía que se alimenta de hechos reales
y fantásticos (disparates y deseos), que pasa de la sátira del mundo
que nos rodea a la crítica literaria, y de ahí a la parodia de todas las
literaturas, populares y cultas, que han conformado las experiencias de
quienes crecieron en el tiempo de aquellas historias. En Los Cinco y yo Orejudo nos
presenta a un narrador, Toni o Toñito con un apellido que empieza por O,
que nos cuenta en primera persona sus recuerdos de infancia y
adolescencia como parte de la generación del baby-boom, esa generación
que desbordó los colegios y que alcanzó su pico hormonal en el momento
del destape, también de la heroína.
Toni cuenta cómo con Los Cinco descubrió el
placer de la suspensión de la incredulidad, el encanto de sumergirse en
la ficción de tal manera que todo era posible dentro de ella. En Los Cinco y yo Toni O. enlaza su biografía con la historia de Los Cinco y lo que llegarían a ser esos cuatro chavales cuarenta años después Y esa historia futura que nos cuenta Toni es en realidad la novela After Five, escrita por un “gordito pedante” que no es otro que un personaje llamado Rafael Reig (hay un escritor con ese nombre en al realidad). Precisamente es la presentación de After Five,
el bestseller de Reig, lo que sirve de pie para el arranque de la
novela. “A los cincuenta”, dirá más tarde el narrador, “tocaba mirarse
en el espejo de estos personajes y preguntarse qué había sido de
aquellos chicos con la misma curiosidad con que uno se preguntaba en las
fiestas de viejos compañeros de colegio qué había sido del Manguas o
del Búfalo”. Así, los personajes que Toni nos presenta como parte de su
vida (el Manguas y compañía), se reflejan en los personajes creados por
Enid Blyton, y en su continuación cuarenta años después en la novela de
ese Rafel Reig de ficción.
La crítica lo ensalzó y me convencí, y la terminé...pero esperaré un ratito antes de volver a leer un Orejudo.
mercredi 7 février 2018
C'est la Vie E.Nakache
Francia 2017, Comedia 115 min Dirigida por Olivier Nakache y Eric Toledano. Con Jean-Pierre Bacri, Vincent Macaigne, Kévin Azaïs, Suzanne Clément, Gilles Lellouche, Judith Chemla, Jean-Paul Rouve
Max (Jean-Pierre Bacri), un atolondrado organizador de bodas, tiene la
difícil misión de preparar un gran evento, con cientos de invitados, en
un castillo del siglo XVIII. La planificación, proyecto y organización
del mismo, dará rienda suelta a las situaciones más caóticas que nos
podamos encontrar: desde unos camareros completamente torpes, un
fotógrafo (Vincent Macaigne)que no soporta que los invitados haga fotos con los móviles,
el petulante novio que no está contento con nada, un cantante italiano
(Guilles Lellouche) que, en realidad, no sabe el idioma, amoríos
extramatrimoniales, una cena en mal estado por lo que deben atiborrar a
los invitados de hojaldre salado para hincharlos y… todo lo que pueda
salir mal, saldrá peor de lo esperado. En definitiva, una comedia muy
francesa.
Un buen rato.
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