samedi 25 février 2012
dimanche 19 février 2012
Katmandú, un espejo en el cielo Iciar Bollaín
Dirección Iciar Bollaín, Intérpretes: Verónica Echegui, Sumyata Battarai, Norbu Tsering Gurung. España 2012, 104 mn
Historia basada en la vida real de una maestra interpretada por Verónica Echegui luchando en contra de las desigualdades en Nepal que posee a un personaje central interesante y desarrollado pero cuya narración se queda demasiado anclada y estática en la superficialidad de la situación.
mardi 14 février 2012
La délicatesse D.Foenkinos
Nathalie était plutôt discrète (une sorte de féminité suisse). Elle avait traversé l'adolescence sans heurt, respectant les passages piétons. Â vingt ans, elle envisageait l'avenir comme une promesse. Elle aimait rire, elle aimait lire. Deux occupations rarement simultanées puisqu'elle préférait les histoires tristes. L'orientation littéraire n'étant pas assez concrète à son goût, elle avait décidé de poursuivre des études d'économie. Sous ses airs de rêveuse, elle laissait peu de place à l'à peu près. Elle restait des heures à observer des courbes sur l'évolution du PIB en Estonie, un étrange sourire sur le visage. Au moment où la vie d'adulte s'annonçait, il lui arrivait parfois de repenser à son enfance. Des instants de bonheur ramassés en quelques épisodes, toujours les mêmes. Elle courait sur une plage, elle montait dans un avion, elle dormait dans les bras de son père. Mais elle ne ressentait aucune nostalgie, jamais. Ce qui était assez rare pour une Nathalie.
Un roman à l'eau de rose sans grand intérêt.Ça me rappelle Marc Lévy et comme lui, auteur adapté au cinéma. Aura-t-il le même manque de succès ou Tautou arrivera-t-elle à le sauver?
samedi 11 février 2012
Madame Bovary adaptation de Emilio Hernández
En 1932 Albert John Ray fait la première adaptation cinématographique qui provoque une protestation officielle du gouvernement français; l'année suivante Jean Renoir reprend le roman et le dernier en date est Chabrol. Aucune n'a mérité les félicitations du public.
Cette Emma- Ana Torrent va du début de son mariage à sa mort, vit des drames, des passions à une telle vitesse qu'il est difficile de la suivre et d'y croire.
Les amants Rodolphe et Léon apparaissent en coup de vent, lisent des poèmes ou se deshabillent ; le seul qui garde le tempo c'est le pauvre Charles (Juan Fernández).
La scène est divisée en deux espaces, la chambre où trône le grand lit à baldaquin et le bureau, piano, bibliothèque à droite qui joue un rôle mineur.
Si on a lu le roman, on ne peut pas être satisfait de cette adaptation trop ambitieuse en contenu et un peu vide en sentiments; un travail digne de Ana Torrent sur qui repose la pièce et qui fait son possible pour s'en sortir.
mercredi 8 février 2012
Martin Creed Things/Cosas
Algunas de las 25 obras que se muestran en Alcalá 31 han sido concebidas para la ocasión, como sus nuevas pinturas murales, y otras son algunas de sus piezas más conocidas, pero que nunca habían sido presentadas en España. Y esto es arte???
Libellés : Creed, exposition, Madrid
mardi 7 février 2012
Picasso "El eterno femenino" en la Fundación Canal
Libellés : exposition, Madrid, peinture, Picasso
lundi 6 février 2012
Berthe Morisot La pintora impresionista en Thyssen-Bornemisza
J'ai bien aimé les tableaux de la collection Thyssen de peintres contemporains de Morisot qui l'ont inspirée et qui a eux seuls méritent la visite.
Libellés : exposition, Madrid, Morisot
dimanche 5 février 2012
El montaplatos de H.Pinter
con Alberto San Juan y Guillermo Toledo.
Un sótano desolado, cubierto de plástico negro. Hasta las butacas de las gradas están cubiertas de plástico basuril. Dos literas. Dos puertas batientes, al fondo. Oscuridad, que el acatarrado público aprovecha para toser acompasadamente. Larga secuencia muda: los dos tipos fingen dormir, se espían, se escrutan. Ominosos ruidos de poleas en la noche, una cisterna lejana y goteante, a punto de desbordarse. Se hace la luz. San Juan y Toledo tienen aspecto de vagabundos beckettianos, pero sin bombines. Diario en mano, comentan las noticias del día (de qué día no importa) para matar el rato. Algo esperan. Algo que no pinta bien. Durante un buen rato no sabremos a qué se dedican. Hasta que vemos las pistolas. Bueno, lo adivinamos antes por los diálogos.
El montaplatos (1960) es la pieza de Pinter que más cerca está de las estructuras del teatro del absurdo. Buena interpretación.