Le comte de Montecristo Delaporte/De la Petellière
À Marseille, en 1815, Edmond Dantès (Pierre Niney) a tout pour être heureux. Le jeune homme de 22 ans vient d’être promu capitaine à la suite d’un geste héroïque et épousera sous peu la femme qu’il aime. Toutefois, le jour de son mariage avec Mercédès Herrera de Morcerf, il est arrêté. Son bonheur fait des jaloux et on l’accuse d’être un agent napoléonien — à défaut d’être royaliste. Condamné à finir ses jours au château d’If, prison au large de Marseille, Edmond commence à perdre la raison jusqu’au jour où le tunnel creusé par son voisin de cellule aboutit dans la sienne. L’abbé Faria redonne espoir au jeune homme et ils creuseront ensemble pendant 10 ans. Durant ces années, le dernier chevalier de l’Ordre du Temple lui enseignera la philosophie, les mathématiques, diverses langues et le lieu de la cachette de l’inestimable trésor des Templiers. Maintenant libre, riche et savant, Edmond se présente sous le nom du comte de Monte-Cristo. De retour sur le continent, il retrace sous son masque les trois hommes responsables de sa longue incarcération. Avec l’aide de deux jeunes, Haydée et Andrea, aussi assoiffés de revanche, Monte-Cristo positionnera méticuleusement chacune de ses pièces afin d’opérer sa vendetta.
Pour un film de 3 h, Le comte de Monte-Cristo ne s’étire pas. Le rythme est soutenu, même rapide dans le premier acte. Pierre Niney est extraordinaire dans la peau d’Edmond Dantès et sous chacun de ses masques.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire