lundi 30 avril 2012
Piranèse, qui s'intitulait lui-même « architecte vénitien », fut aussi archéologue et théoricien. Ce graveur-poète, salué par les préromantiques, joua un rôle déterminant dans le mouvement de retour à l'antique qui marqua la seconde moitié du XVIIIe siècle et dans l'élaboration du style néo-classique.
Cette personnalité contradictoire, impétueuse et changeante, plus apte à la création qu'à la défense soutenue de doctrines définies, et qui influença plusieurs générations d'artistes – essentiellement des architectes anglais et français–, se plie mal aux classifications des historiens.
La muestra, la más ambiciosa realizada sobre del genio veneciano, permite calibrar la crucial influencia que Piranesi ha ejercido en la cultura y el arte occidentales. Un influjo creciente desde el XIX hasta nuestros días. Es la primera vez que se pone el acento en la contemporaneidad de la figura de Piranesi con un planteamiento inédito: presentarlo como "un creador moderno y comprometido con la renovación de la arquitectura, usando las tecnologías más avanzadas para descubrir la riqueza de su obra, su eclecticismo y su excéntrica vena creativa".
Las casi 300 obras que incluye la exposición permiten calibrar la potencia del trabajo de este creador, un gigante de la ilustración y la estampa, capaz del portentoso nivel de detalle en sus grabados que ha facilitado el salto de sus piezas a la realidad y al volumen. La totalidad de los grabados expuestos pertenecen a la fundación Cini, que conserva una de las más valiosas colecciones de grabados del polifacético artista, con más de un millar de estampas.
mercredi 25 avril 2012
Les Dardenne au Ciné Dore avec le gamin au vélo
J'avais déjà vu le film "Le gamin au vélo" mais j'ai voulu le revoir à l'occasion du passage des Frères Dardenne à Madrid.
Le film fait partie du cycle que la Filmoteca madrilène leur consacre et qui permet de voir toute la production des réalisateurs belges.
Après le visionnement il y a eu des questions traduites par un très bon interprète, on a ainsi appris que l'histoire de Cédric est une adaptation d'une histoire réelle au Japon, que ce qui les intérese c'est les personnes et leur complexité.
Ils encouragent les jeunes réalisateurs à tourner des films, des documentaires puisque grâce aux technologies il est possible de produire, à travailler en équipe, à trouver leur propre chemin.
lundi 23 avril 2012
Almanya Y.Samsereli
Después de vivir 45 años en Alemania como un “Gastarbeiter” (trabajador invitado) turco, Hüseyin Yilmaz, setenta años cumplidos, anuncia a su familia que ha comprado una casa en Turquía y que todos deben volver con él para hacer las reformas necesarias. La familia no se siente en absoluto atraída por la idea y todos empiezan a discutir acaloradamente. Por si no fuera bastante, Canan, una nieta de Hüseyin, decide anunciar que está embarazada y que el padre es su novio inglés, del que nadie sabía nada. Para consolar a su primo Cenk, de seis años, al que trataron de “extranjero” el primer día de colegio, Canan decide contarle la fantástica historia de por qué acabaron todos en Alemania a pesar de no ser alemanes.
C'est un film sympathique qui aborde la réalité des immigrants de façon aussi légère qu'éloignée de la réalité.
A ma connaissance il n'y a pas de film sur cette thématique et les Espagnols qui eux aussi ont été nombreux à intégrer les Gastarbeiter.
vendredi 20 avril 2012
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire J.Jonasson
On se dit qu'il aurait pu se décider avant et qu'il aurait dû au moins avoir le courage de prévenir son entourage de sa décision. Mais Allan Karlsson n'avait jamais été du genre à réfléchitr longtemps avant d'agir.
L'idée avait donc à peine eu le temps de germer dans l'esprit du vieil homme qu'il avait déjà ouvert la fênetre de sa chambre située au premier étage de la maison de retraite de Malmköping dans le Södermanland, et qu'il s'était retrouvé debout sur la plate-bande dans le jardin.
L'acrobatie l'avait un peu secoué, ce qui n'avait rien de très étonnant, vu que ce jour-là Allan allait avoir cent ans. la réception organisée pour son centenaire, dans le réfectoire de l'établissement, commençait dans une heure à peine.
Allan et sa vie passionante, un récit policier loufoque dans la ligne de Paasilinna, d'un type quelconque amené à côtoyer les grands de ce monde malgré son allergie à la politique.
lundi 16 avril 2012
Cairo time Ruba Nadda
Juliette, rédactrice en chef d’un magazine canadien, s’en va passer trois semaines de vacances au Caire pour rejoindre Mark, son mari qui travaille aux Nations Unies. À son arrivée, celui-ci est retenu à Gaza et envoie son ancien associé Tareq accueillir Juliette. Peu à peu, cette jolie blonde quadragénaire va se prendre au jeu des coutumes du pays et capter les charmes de la ville… ainsi que ceux de Tareq. Belles images, musique sublime, les Pyramides au fond qui attendent d'être découvertes avec son mari mais qui, comme il tarde à venir c'est Trek qui s'en charge. Une belle romance où tout se passe dans le regard et les gestes, le monde arabe fait rêver les Occidentales, américaines, canadiennes ou autres. En somme un film agréable à voir.
De ratones y hombres
Teatro Español 2h sin descanso
Basada en la obra homónima de Steinbeck, “De ratones y hombres” cuenta las vicisitudes de Lennie y George, dos hombres en paro en plena depresión norteamericana que encuentran trabajo en el rancho Tyler. Allí, todo se tambalea cuando Lennie se ve envuelto en un desafortunado suceso.
El reparto formado por diez actores, entre los que destacan Roberto Álamo, Irene Escolar, y Fernando Cayo. De entrada nos encontramos con una hermosa escenografía, hábilmente transformable, que nos lleva del campo abierto al asfixiante barracón de los obreros.
dimanche 15 avril 2012
Panaderia:el timo del pan de centeno "artesano"
Ayer en el blog de Todo Madrid recomendaban visitar este nueva panaderia que acaban de inaugurar en Chueca, calle Augusto Figueroa 2, al ladito de la la calle Fuencarral.
Ando siempre a la busca de un buen pan de centeno, añorando el que cada día me trae en vacaciones la panaderia gallega del pueblo de mi madre.
Esta mañana de domingo hacía allí me voy, el local no es muy grande, domina el blanco, una barra, un mostrador algunas mesas, algunos clientes, jovenes individuales con periódico y desayuno.
De centeno 100% hay sólo un pan y dos tamaños, compro el grande y una empanadilla de atún, total 10,10 euros.
Al recibir la bolsa (la de plastico ya la tenían que haber suprimido) me doy cuenta del peso, más menos un kilo, ¿no debería estar indicado?
En el camino me tomo la empanadilla, la masa está cruda. El pan resultará ser igual de poco logrado.
Y me indigno, mucho diseño pero poca profesionalidad. ¿Cuándo se darán cuenta de que lo importante es la calidad?, el diseño no se come. Se piensan que los urbanitas somos gili...o que lo snob nos empolva el cerebro.
Seguiré surtiéndome en el Museo del pan gallego de la calle Príncipe, frente al Teatro Español, las empanadas están muy ricas, el pan también, el de centeno 100% hay que encargarlo un día antes y el kilo tiene un precio más acorde con lo razonable: 3,50euros.
Libellés : commmerces, Madrid, pan
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